Vivre le portail énergétique du 1er janvier… en Bretagne ? Un choc thermique et mystique

Franchement, on ne va pas se mentir : le 1er janvier, la plupart des gens ont encore des cotillons dans les cheveux et du foie gras jusqu’aux oreilles. Et pourtant… ce jour-là, pendant que d’autres cherchent un Doliprane, il se passe un truc beaucoup plus grand. Un mouvement subtil. Un souffle invisible. Les numérologues appellent ça un portail énergétique.

Et si on vivait ça… en Bretagne ? Oui, oui. Avec le vent en pleine face, les embruns qui fouettent les joues, les galets mouillés qui grincent sous les bottes. Pas très “Instagrammable”, peut-être. Mais alors, quelle claque sensorielle.

1 / 1 : deux allumettes qui s’enflamment

Un et un. Deux fois la même chose. Deux débuts qui se superposent. C’est simple, presque bête. Mais symboliquement, c’est fort. Un appel au renouveau, à la graine qu’on plante sans savoir si elle va pousser. Et ce jour-là, les énergies seraient alignées pour qu’elle prenne racine. C’est du moins ce qu’en disent celles et ceux qui lisent les vibrations comme d’autres lisent dans le marc de café.

En Bretagne, ce portail prend une saveur particulière. Le paysage lui-même semble initiatique. Ce n’est pas juste une région : c’est un personnage. La mer, la roche, le vent… rien de tiède ici. Ça tranche, ça parle, ça vous secoue les tripes.

S’éveiller le 1er janvier… avec le cri d’une mouette

Imaginez. Il est 8h30. Il fait encore nuit. Le ciel est couleur d’ardoise. Une mouette pousse un cri presque humain. Vous sortez emmitouflé dans une grosse écharpe, la tête encore embrumée par la nuit précédente. Pas de musique, pas de bruit. Juste le frou-frou des vagues et cette drôle de sensation au creux du ventre… comme si quelque chose commençait. Vraiment.

Là, sur cette plage froide, vous pouvez poser une intention. Pas une liste à puces façon “objectifs 2025”. Non. Un mot. Un seul. Ou une phrase. “Je choisis la tendresse.” “Je veux arrêter de me taire.” “J’ose.” On ne cherche pas le style. On cherche le cœur.

On fait quoi de tout ce qui encombre ?

Parce que pour planter du neuf, faut bien faire un peu de vide. Et là, tiens, une idée : ramasser un caillou. Un qui vous appelle. Le garder dans la main, y souffler tout ce qu’on veut laisser derrière. Puis le jeter à la mer. Symbolique ? Oui. Puéril ? Peut-être. Mais bizarrement, ça soulage. Il y a quelque chose de primitif là-dedans. Et c’est bien ce qu’on cherche, non ? Un retour à l’essentiel.

Pas de rituel parfait. Juste du vrai

Ce portail, on n’a pas besoin de le vivre “comme il faut”. Pas besoin d’encens, de chants tibétains, ou de mantras si ça ne vous parle pas. Ce qui compte, c’est d’être présent. Là. À ce moment précis. Quand l’année commence. Quand vous respirez pour la première fois un 1er janvier en vous disant : “Ce souffle-là, je ne veux pas le perdre.”

Un bol d’air glacial peut valoir tous les bains sonores du monde.

Et si le portail, c’était aussi la galette ?

Ne riez pas. La symbolique est partout. Même dans les trucs simples. Une fève cachée, une couronne partagée, un moment collectif où on tire au sort. C’est presque un rituel ancien. Il y a quelque chose de magique là-dedans, non ? Le hasard, l’enfant qui tombe sur la fève, le roi ou la reine du jour. Peut-être que la magie ne se passe pas que dans le ciel. Peut-être qu’elle se glisse aussi dans les miettes de frangipane.

Bretagne = miroir grossissant des ressentis

Tout est plus brut là-bas. Le sel, la pierre, le ciel changeant. On ne triche pas avec les éléments. Et c’est exactement ce qu’il faut pour entrer dans un nouveau cycle : un endroit qui vous regarde droit dans les yeux.

Un coin de forêt trempée de brume ? Une crique cachée que personne ne connaît ? Une chapelle en granit posée au bout du monde ? Prenez ce lieu. Faites-en votre seuil. Votre portail. Et marchez.

Marcher. Voilà le rituel ultime. Pas besoin d’en faire plus. Marcher avec une intention. La répéter à voix basse. Ou la mâcher en silence comme un bonbon un peu amer.

Et après ?

Après… on rentre. On se fait un chocolat chaud. On regarde une série. On oublie un peu tout ça. Et c’est très bien. Parce que le portail, ce n’est pas un feu d’artifice. C’est un souffle lent. Il revient dans vos pensées quand vous ne vous y attendez pas. Il glisse dans un geste, dans une décision prise sans trop y penser.

Et on se dit : “Tiens, ce truc-là, je l’avais senti le 1er janvier…”

FAQ – Portail énergétique 1er janvier : que faire en Bretagne ?

Quel est le sens spirituel du portail énergétique du 1er janvier ?
C’est un moment où les énergies s’ouvrent, comme une grande porte invisible qu’on franchit sans s’en rendre compte. Il ne s’agit pas seulement d’un “nouvel an”, mais d’un point de bascule, une impulsion vibratoire qui aide à poser les bonnes intentions. Une sorte de bouton “reset”, mais en plus subtil. Et quand le 1/1 tombe un jour de grand vent en Bretagne ? Eh bien… c’est encore plus puissant.

Pourquoi vivre ce portail énergétique en Bretagne ?
Parce que la Bretagne, c’est un peu comme une vieille âme : brute, pleine de symboles, connectée à l’invisible. La mer, les rochers, les landes… tout y parle d’énergie primordiale. Ce territoire a une mémoire. On y ressent davantage les passages énergétiques. Et le 1er janvier, entre deux bourrasques, on peut presque entendre quelque chose s’ouvrir… à l’intérieur comme à l’extérieur.

Quel rituel simple faire le 1er janvier pour activer le portail énergétique ?
Pas besoin de grandes mises en scène. Une balade près de l’eau (mer, rivière, fontaine), un mot chuchoté au vent, une intention posée sur un galet… Voilà. Le plus puissant, souvent, c’est le plus épuré. En Bretagne, l’élément eau joue un rôle central. On peut s’adresser à elle comme à une vieille amie : “Je laisse partir ce qui m’alourdit. Je choisis ce qui me fait grandir.”

Faut-il se lever tôt le 1er janvier pour “captez” le portail énergétique ?
Non. Ce n’est pas une question d’horloge. Mais si vous êtes réveillé·e au lever du jour, profitez-en. Le moment entre chien et loup (quand le ciel hésite encore entre nuit et lumière) est chargé d’intuition. Une brume sur la lande, un rayon pâle sur l’eau… Ces instants suspendus sont des portails à eux seuls.

Peut-on vivre ce portail énergétique à plusieurs, en groupe ?
Bien sûr. Tant que l’intention est partagée et sincère. Une marche en silence, une discussion autour d’un feu, une méditation les pieds dans l’herbe gelée… L’énergie du groupe déploie l’effet. Et puis, commencer l’année en connexion, ça réchauffe le cœur, même quand il fait 3 degrés.

Quel symbole choisir pour représenter mon intention du 1/1 ?
Un coquillage vide, une plume, une pierre plate, un mot écrit sur un papier, une photo, une odeur… Laissez parler votre instinct. Votre symbole peut être discret, fragile, banal en apparence. Ce qui compte, c’est ce qu’il évoque pour vous. Et si c’est un bonnet tricoté par Mamie ou un ticket de train ? Parfait. L’univers adore les objets improbables.

Le portail énergétique du 1er janvier est-il lié à l’astrologie ?
Indirectement. Il est surtout numérologique (le 1/1 = double 1 = nouveau départ). Mais comme le Soleil est encore bas, que la nature se repose, et que la lumière revient peu à peu, il y a aussi une symbolique cyclique. On sort de l’ombre. On prépare le terrain pour le printemps. Chaque tradition le lit à sa façon. Ce qui compte, c’est comment vous le ressentez.

Quels lieux en Bretagne sont propices à ce genre de rituel ?

  • Une plage déserte à marée basse
  • Une forêt de hêtres ou de chênes
  • Une chapelle en pierre oubliée du temps
  • Un dolmen (s’il est accessible et respecté)
  • Un sentier côtier battu par le vent
    Bref, un lieu qui vous parle dans le ventre, même si vous ne savez pas pourquoi.

Est-ce que ça fonctionne “même si on n’y croit pas vraiment” ?
Vous avez déjà senti un frisson dans le dos sans raison ? Voilà. Il ne s’agit pas d’y croire ou pas. Il s’agit d’écouter ce qui se passe quand on ralentit, qu’on observe, qu’on se reconnecte à ce qui vibre. Le portail énergétique, c’est peut-être juste une façon d’être présent, différemment. Et ça, ça fonctionne toujours.

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